« Le jazz revient, le cœur en fête… on reste là tout ébloui par sa lumière … », merci Monsieur Trenet !
« Souillac en jazz » en 2021, ce sont des femmes et hommes du jazz pour des rencontres intergénérationnelles grâce au soutien de tous nos partenaires en 2020.
« Souillac...
CONCERT DOCUMENTAIRE « N.O. PEOPLE »
Musique : Anthony Lavaud (guitare) & mao (guitares à la dérive et chant)
Images : mao
Durée 1h15 environ
Autour de la musique et de la culture de la Nouvelle Orléans après l’ouragan Katrina, le concert documentaire associe des projections de vidéo (témoignages de musiciens et images de la ville tournées entre 2006 et 2009) avec des passages musicaux joués et chantés. Musique et images forment une continuité narrative et trouvent leur cohérence dans l’unité du regard.
Certains moments sont strictement documentaires (avec sous titrages en français) alors qu’à d’autres, l’image est associée à la musique ou au chant. Il s’agit de proposer un regard plus intuitif et ouvert que strictement narratif, sur la ville de La Nouvelle Orléans, sa culture et ce que cette dernière peut représenter pour nous, qui l’avons intégrée à la notre. Les témoignages documentaires sont ceux de musiciens habitants de la ville qui parlent de la situation actuelle et livrent leurs sentiments sur le devenir de leur identité.
Le propos de ce travail est de donner à ressentir la dimension populaire de la culture de La Nouvelle Orléans, en montrant qu’elle affirme aujourd’hui sa vitalité, en dépit de tout ce qui la menace (dispersion de la population et assimilation par la culture dominante).
Marc Oriol (mao) : vidéaste et musicien
« Depuis plus de dix ans, j'expérimente cette interaction entre la musique et l’image en cherchant une cohérence de discours liée au fait de faire les images mais aussi de concevoir le "récit" et de travailler sur la musique. La mémoire vidéo est ainsi explorée et éclairée différement à chaque nouvelle occasion. Ainsi en fût-il pour les spectacles autour de Jessie Mae Hemphill (ME & MY GUITAR) et de la poésie Spoken word (PAR LA FORCE DES MOTS). »